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Aaron Ekblad dit pourquoi il a signé à rabais

La nouvelle entente d’une valeur annuelle de 6,1 millions pour huit ans qu’a paraphée Aaron Ekblad a fait sourciller plusieurs directeurs généraux qui l’avaient dans leur mire.

Le défenseur allait évidemment obtenir plus sur le marché des joueurs autonomes, s’il avait tourné le dos aux Panthers de la Floride après deux conquêtes de suite.

Non seulement ce scénario semblait somme toute improbable, le vétéran lui-même préférait signer à rabais que de repartir à neuf.

«On veut jouer pour gagner. On a beaucoup de bons joueurs et notre groupe est soudé, car on joue ensemble depuis si longtemps, a expliqué Ekblad au site RG.org lors d’un événement public à Boca Raton, en Floride.

«Même nos femmes s’aiment. Les gars ont des enfants, on va grandir ensemble, leurs enfants grandiront ensemble, et j’espère que les miens aussi un jour. C’est un aspect familial. C’est un peu comme un foyer où on se sent bien. Un endroit aussi beau que les gens qui y vivent, et nous avons des gens formidables ici.»

Pendant que la machine à rumeurs s’emballait, Ekblad a fait un voyage avec deux autres coéquipiers en situation d’autonomie complète après leur conquête de la Coupe Stanley : Brad Marchand et Sam Bennett. Ces derniers ont aussi signé des contrats à long terme avec le club.

«Nous sommes allés aux Bahamas ensemble, a raconté Ekblad. Nous avons évidemment discuté de ce qui pourrait arriver, mais au final, je pense que plusieurs d’entre nous ont laissé nos agents se débrouiller.

«Nous leur donnions des instructions, et ils ont géré une partie de l’essentiel. C’est ce que j’ai ressenti, personnellement. Je ne voulais pas trop m’impliquer dans les négociations.»

Pour ce qui est de la coupe, Tkachuk a raconté un moment marquant dans la piscine de Matthew Tkachuk, après le premier triomphe.

«C’était plutôt amusant. J’ai une photo de ça et une autre que je ne pense pas avoir le droit de partager ni même de raconter aux gens. Mais c’était une soirée spéciale, et je n’avais pas dormi à ce moment-là. Il était cinq ou six heures du matin, et j’ai amené la coupe Stanley patauger dans une piscine.»

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