© Sam Navarro-Imagn Images

Bennett: la «chanson» des fans envers lui

Sam Bennett demeure désormais l’un des chouchous chez les Panthers de la Floride, lui qui est modelé pour les danses printanières. Lors des dernières séries éliminatoires, le numéro 9 a prouvé hors de tout doute raisonnable qu’il était l’un des plus grands «gamers» de la Ligue nationale de hockey. Un «gamer» est un joueur qui sait se lever lors des moments forts (quand ça compte).

Le pivot numéro deux des Cats a, sans aucune surprise, raflé le trophée Conn-Smythe, remis au meilleur joueur des séries éliminatoires. Bennett s’est levé, tout comme son acolyte Brad Marchand, prouvant la thèse du joueur ultime lors des valses du printemps. On parle de 15 buts, 22 points, 48 minutes de pénalité et pas moins de 107 mises en échec. Bennett demeure un joueur unique et tous les amateurs s’en sont aperçus récemment.

Le problème avec tout le beau que Bennett apporte, c’est qu’il se méritera une augmentation considérable. Il devrait passer de 4,425 millions de dollars annuellement à 8 millions en moyenne. S’il devient officiellement libre comme l’air le 1er juillet, il pourrait peut-être même toucher un pactole de 10M$ annuellement. Par contre, tout indique qu’il ramènera son cœur chez les Panthers de la Floride, selon le DG du club, Bill Zito.

D’ailleurs, à ce sujet, les fanatiques des Cats ont démontré à quel point ils sont en amour avec celui-ci, un joueur indispensable pour ce groupe de joueurs.

Voici le chant en question:

Ce gars-là (Bennett) vient de se forger un nom pour le restant de sa carrière, qu’il pourrait certes passer au sein des Panthers. Les fans ont envoyé un message clair à Zito: «Tu dois le signer pour huit ans!». Un huit ans pour un salaire de 8 millions de dollars annuellement, c’est pas mal la valeur d’un joueur de sa trempe.

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