Brad Marchand et les Panthers de la Floride amorceront, mercredi soir, cette finale de la Coupe Stanley les opposant aux puissants Oilers d’Edmonton. Est-ce que l’échec-avant efficace des Panthers parviendra à contrer la défensive mobile des Oilers? Dans ma tête, il n’y a pas de doute. Je sais, mon jupon dépasse beaucoup, mais je suis un blogueur et non un journaliste!
Cela dit, pendant que Marchand savoure pleinement son retour en finale de la Coupe Stanley, sa valeur comme agent libre augmente considérablement. La petite peste sera assurément l’un des pions les plus populaires lorsque le marché des agents libres s’ouvrira, soit le 1er juillet prochain. Avant cette date, plusieurs dirigeants et recruteurs observent assurément des soldats comme Marchand et Sam Bennett, qui deviendront agents libres au début du mois de juillet.
Marchand, malgré ses 37 ans, est toujours dans une forme resplendissante, étant l’un des joueurs les plus efficaces chez les Panthers. Son trio, avec Anton Lundell et Eetu Luostarinen, est d’une efficacité déconcertante. Les trois joueurs sont étiquetés comme «membres du troisième trio», mais, dans les faits, ils sont les joueurs les plus efficaces du groupe. En jouant de façon aussi inspirée, la valeur de Marchand est en hausse en vue du 1er juillet.
Le directeur général des Cats a d’ailleurs vanté Brad Marchand, ce qui amène forcément sa valeur à un autre niveau:
«Il n’y a pas de secret sur ce qu’il est en tant que joueur, en tant que compétiteur. En apprenant à le connaître un peu plus en tant qu’être humain, il est plus spécial que je n’aurais pu l’imaginer à cet égard. En tant que coéquipier et en tant que personne. De ce point de vue, c’est comme un glaçage sur le gâteau.»
Brad Marchand enjoying a ‘special’ moment with Stanley Cup Final return — as his free-agent stock soars
— Michael Russo (@RussoHockey) June 4, 2025
By @reporterchris https://t.co/yA47EQe6ak
À écouter (lire) Zito, je peine à croire qu’il ne tentera pas l’impossible afin de conserver les services du numéro 63, même si sa valeur augmente à chacune de ses présences sur la surface glacée.