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Comme les Canadiens, les Canucks peinent à combler le centre du deuxième trio

Le marché des joueurs de centre est particulièrement maigre cet été. Avec le nombre limité d’offres disponibles, les équipes qui disposent d’un patineur à cette position hésitent à s’en séparer ou fixent des prix exorbitants, souvent supérieurs à la valeur réelle de l’athlète, simplement en raison de la forte demande. Les Canadiens de Montréal, confrontés à un déficit au poste de pivot sur leur deuxième unité, scrutent l’ensemble de la Ligue nationale de hockey (LNH) pour dénicher le candidat idéal, mais, pour l’instant, la tâche se révèle complexe.

Pour compliquer davantage la situation, le CH n’est pas la seule formation à chercher un centre de top-6. À l’instar de la Sainte-Flanelle, les Canucks de Vancouver, qui disposent d’options sur leurs deux derniers trios, ont un manque à combler sur leur deuxième ligne. Si Elias Pettersson occupe la première unité, il n’existe pas de véritable candidat pour la deuxième.

Si Kent Hughes a précisé qu’il ne voulait pas surpayer pour colmater sa brèche, le président des Canucks, Jim Rutherford, s’est montré prêt à offrir gros pour régler son problème. Cependant, pour l’instant, les propositions ne répondent pas aux attentes, comme l’a expliqué le directeur général Patrik Allvin à Sportsnet.

« Nous continuons de parler aux équipes, mais il n’y a pas eu beaucoup d’options disponibles jusqu’à maintenant. Évidemment, tout dépend du coût d’acquisition et de l’adéquation avec [l’entraîneur] Adam Foote et son style, ainsi que de la façon dont nous voulons jouer. C’est définitivement quelque chose que nous continuons d’examiner. » – Patrik Allvin

En attendant de trouver le joueur parfait, l’organisation de la Colombie-Britannique devra se tourner vers ses options internes, à savoir Filip Chytil, Teddy Blueger, Aatu Raty, Max Sasson et Ty Mueller.

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