La date limite des transactions a été fixée au 3 mars cette saison. Voici cinq bons clubs à surveiller et qui ont une certaine marge de manoeuvre sous le plafond salarial.
Ceux qui rêvent de voir les six meilleures équipes — Boston, Caroline, New Jersey, Toronto, Tampa Bay et Dallas — réaliser un coup d’éclat risquent d’être déçus, car selon capfriendly, ils n’ont à peu près aucune flexibilité présentement sur leur masse salariale.
Ça ne veut pas dire qu’ils ne bougeront pas pour autant. C’est seulement que pour « entrer » un nouveau joueur, ils devront se départir d’un salaire.
Ou encore faire preuve d’ingéniosité et « jouer avec les chiffres » avec la liste des blessés à court ou long terme. Intelligent comme il est, Julien BriseBois, à Tampa, en est bien capable.
Edmundson à L.A.?
Les équipes les plus susceptibles de bouger sont toutefois un peu plus bas au classement. On pense entre autres au Wild, aux Jets, aux Rangers, aux Kings et au Kraken, qui sont tous dans le Top 10 de la ligue (ou proche) et qui ont tous entre 3,7 millions (Wild) et 834 000$ (Kraken) d’espace sous le plafond.
Certaines rumeurs lient Joel Edmundson aux Kings? Parfait. Ils ont de la place pour l’accueillir, avec son salaire de 3,5 M$ pour encore un an.
Patrick Kane aux Rangers? Ça pourrait se faire, monétairement parlant, mais les Blackhawks vont assurément exiger un bon jeune joueur en retour (Lafrenière? Kakko?), entre autres.
Jonathan Toews à Winnipeg, sa ville natale? Quel coup ce serait des Jets, autant sur la glace (au centre du troisième trio?) que d’un point de vue marketing.
Beaucoup de choses peuvent se passer d’ici au 3 mars, mais gardez un oeil sur le Wild, les Jets, les Rangers, les Kings et le Kraken.
Ils visent tous haut cette année et ont du cash pour aller chercher de gros poissons.
