Après une saison 2024-2025 particulièrement difficile, les Canucks de Vancouver semblent avoir tranché : Elias Pettersson ne sera pas transigé, malgré l’entrée en vigueur imminente de sa clause de non-échange complète. C’est du moins ce qu’a révélé l’informateur Pierre LeBrun.
Tout au long de la campagne, alors que le centre suédois peinait à retrouver son niveau habituel, les spéculations sur son avenir en Colombie-Britannique ont fait couler beaucoup d’encre. Plusieurs rumeurs indiquaient que le directeur général Patrik Allvin envisageait sérieusement de tourner la page, notamment en raison de tensions présumées avec J.T. Miller. Or, même après le départ de ce dernier, les performances de Pettersson n’ont pas connu de regain, alimentant les doutes sur son rôle à long terme au sein de l’organisation. L’échéance du 1er juillet, date à laquelle sa clause de non-échange devient active, ajoutait une pression supplémentaire.
Malgré tout, la direction semble maintenant totalement engagée envers le joueur de 26 ans, qui devrait demeurer à Vancouver jusqu’à la fin de la saison 2031-2032. Signé en mars 2024, son contrat lui rapporte en moyenne 11,6 millions de dollars par année, une entente conclue à la suite de campagnes impressionnantes de 102 et 89 points respectivement.
L’an dernier, cependant, Pettersson a connu une importante baisse de régime, ne récoltant que 45 points en 64 matchs, bien en deçà des attentes. Les Canucks misent néanmoins sur un retour en force de leur vedette, espérant qu’il retrouvera l’élan offensif qui lui avait valu son pacte très lucratif.
Malgré cette saison difficile, Elias Pettersson demeure un pilier de l’attaque vancouvéroise. Avec 457 points en 471 duels en carrière dans la Ligue nationale de hockey (LNH), il occupe déjà le neuvième rang des meilleurs pointeurs de l’histoire des Canucks de Vancouver – un exploit notable compte tenu de son jeune âge.
