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« Je pense que beaucoup d’équipes s’attendent à ce que les Bruins l’échangent à un moment donné »

La saison 2024-2025 des Bruins de Boston a été décevante à bien des égards. Après avoir dominé la Ligue nationale de hockey (LNH) ces dernières années, la formation du Massachusetts a conclu la campagne au dernier rang de la division Atlantique, une première depuis 2006-2007.

Malgré ce revers, il n’est pas question d’amorcer une reconstruction complète. L’organisation privilégie plutôt une mise à niveau de l’effectif, déjà entamée depuis la date limite des échanges. Les Ours ont ainsi acquis quelques renforts susceptibles de relancer l’équipe, tandis que plusieurs départs notables ont eu lieu et que d’autres semblent imminents.

Parmi les joueurs dont l’avenir à Boston est incertain, Pavel Zacha, Joonas Korpisalo et Casey Mittelstadt figurent en tête de liste. Compte tenu de la rareté de centres de qualité sur le marché, Zacha et Mittelstadt pourraient attirer l’attention de plusieurs formations. Selon Jimmy Murphy de RG.org, le second ne serait d’ailleurs pas en odeur de sainteté au sein de la direction, et ce, depuis son acquisition à la dernière date limite des transactions en échange de Charlie Coyle.

« Je ne sais pas dans combien de rumeurs il a été impliqué, mais j’entends dire que [Casey] Mittelstadt pourrait être échangé à nouveau depuis même avant la fin de la saison des Bruins. Le sentiment général était qu’il n’était pas leur cible principale lorsqu’ils ont conclu cette transaction ; Zellers et le choix de deuxième ronde l’étaient. […] Je pense que beaucoup d’équipes s’attendaient et s’attendent encore à ce que les Bruins l’échangent à un moment donné. » – Source anonyme à RG.org

Sélectionné au huitième rang du repêchage 2017 par les Sabres de Buffalo, Mittelstadt a récolté 40 points en 81 matchs en 2024-2025. Il lui reste deux années à écouler à son contrat de trois saisons d’une valeur annuelle moyenne de 5,75 millions de dollars.

Si certains l’imaginent dans l’uniforme des Canadiens de Montréal, ses statistiques au cercle des mises en jeu soulèvent toutefois des doutes : en carrière, son taux d’efficacité demeure sous la barre des 46 %, un point névralgique pour un centre dans la Ligue nationale de hockey (LNH).

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