Les Canucks de Vancouver ne connaissent pas le succès souhaité en cette campagne 2024-25, eux qui se battent pour se tailler un poste en séries. Malgré deux victoires consécutives, dont une de 5-2 face aux Blues de Saint-Louis mardi soir, les Canucks sont toujours hors de la course aux séries. Le clan de Rick Tocchet n’a que quatre victoires à ses dix derniers matchs, ce qui n’est pas fameux.
Le comportement général n’est pas au sommet de ses capacités en raison d’une petite guerre dans le vestiaire entre les deux meilleurs attaquants du club, soit J.T. Miller et Elias Pettersson. Les deux hommes ne doivent pas se retrouver au sein d’un même party, puisque ça risque fort probablement d’être explosif…
Le directeur général du club, Jim Rutherford, croit que cette situation demeure irréversible, malheureusement. Il doit désormais songer à bouger celui qui sera le plus facile à sortir de ce vestiaire empoisonner… Une équipe qui désire gagner choisira-t-elle Miller ou Pettersson? Posez la question, c’est y répondre, n’est-ce pas? (Je n’ai probablement pas la même réponse que vous)
«Pendant longtemps, j’ai cru que la solution se trouvait dans ce vestiaire, parce que tout le monde y a mis du sien, y compris les deux parties impliquées. Mais les tensions s’assouplissent seulement pour un court moment, puis elles refont surface de nouveau, et donc il semble qu’il n’y ait pas de véritable solution pour garder ce groupe uni!» – Rutherford
Le président des Canucks confirme qu'il y a des tensions entre J.T. Miller et Elias Petterssonhttps://t.co/kp8mGflr0P
— RDS (@RDSca) January 28, 2025
Ayoye! Ce sont des paroles très pesantes envers son club. C’est carrément un désaveu qu’il dépose envers la mouture actuelle des Canucks de Vancouver. Le vétéran DG est pris avec une patate bouillante et il devra certes exécuter deux ou trois tours de magie afin de conclure un traité avec l’une de ses deux vedettes.
Jusqu’ici, Miller, qui empoche un salaire moyen de 8 millions de dollars jusqu’en 2030, présente une fiche de neuf buts et 34 points en 39 matchs. Dans le cas de Pettersson, il est question d’un salaire annuel de 11,6 millions $ étalés jusqu’en 2032. Le Suédois de 26 ans a cueilli seulement 31 points en 43 rencontres cette année, une récolte en deçà de ses standards.
Selon vous, qui partira de Vancouver entre Miller et Pettersson?