© Sergei Belski-USA TODAY Sports

Le clan de Leon Draisaitl a mis une date limite aux Oilers

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Leon Draisaitl achèvera la dernière année d’un pacte de huit ans lui permettant d’empocher une moyenne annuelle de 8,5 millions de dollars. Dès maintenant, il peut signer le bas d’un nouvel accord, mais ça ne semble pas impératif pour les Oilers d’Edmonton.

Alors que du côté du clan de l’Allemand, la grogne commence à resurgir de plus en plus. Jiri Poner, l’un des agents de Draisaitl, est tellement à court de patience, qu’il a déposé un ultimatum aux Huileux, qui composent actuellement sans directeur général.

Poner s’est officiellement prononcé: si un accord n’est pas signé d’ici la fin de la période estivale, les chances de conclure deviendront quasi impossibles à la suite du lancement du camp d’entraînement.

À partir de là, la balle est dans le gant des Oilers d’Edmonton.

«Il n’y a pas encore d’urgence, mais soit cela arrive rapidement, c’est-à-dire vers la fin août, soit cela ne fonctionne pas du tout. Il deviendra également clair si Edmonton le veut vraiment ou non. Leon détient tous les atouts!», comme traduit par le site TVA Sports.

Sincèrement, à 8,5 millions de dollars, Draisaitl demeure toute une aubaine, lui qui pourrait certes décrocher un pacte lui rapportant pas moins de 15 millions de dollars annuellement. Le centre de puissance de 28 ans n’est rien de moins que l’un des cinq meilleurs joueurs au monde.

Un moment donné, un total de cinq saisons de 100 points ou plus, ça se paie. Cependant, avec les salaires de Connor McDavid (12,5 millions $) et Darnell Nurse (9,25 millions $), ça donne une moins grosse marge de manœuvre pour demeurer sous le plafond.

Bref, d’ici à ce que Leon Draisaitl appose sa signature sur un contrat de quatre copies, les rumeurs risquent de partir dans toutes les directions.

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