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« Le facteur fiscal est présent, mais ça ne vaut pas tout » -Newhook défend les marchés canadiens

Depuis quelques années, une tendance est bien observée dans la LNH; les joueurs autonomes sans compensation se tournent plus souvent qu’autrement vers le Sud. Plusieurs joueurs semblent privilégier les marchés comme ceux de la Floride, du Nevada ou du Texas. Inversement, les équipes canadiennes ont de plus en plus de misère à attirer les joueurs. Même si certains refusent de remettre en question l’importance de l’impact fiscal et des marchés à faible taux d’imposition contre ceux à haut taux d’imposition, il est clair que ce phénomène prend de l’ampleur, particulièrement dans les dernières années. 

Questionné à ce sujet, l’attaquant du Canadien a avoué que les taxes sont un facteur dans la LNH, mais il a ajouté que le narratif du refus de jouer au Canada pour cette raison est exagéré:

« Je pense que c’est un facteur dans le circuit, et c’est probablement en train de devenir un facteur de plus en plus important. Mais je pense que l’idée de ne pas jouer au Canada à cause des impôts est surévaluée. On en parle. Comment refuser un marché comme celui de Montréal, où c’est un mardi ou un lundi soir, mais où l’on a l’impression d’être un samedi dans les autres arénas. C’est quelque chose qu’on ne tient pas pour acquis… », a déclaré Newhook. 

Il sera intéressant de voir si le phénomène continuera dans les prochaines années. Évidemment, tous les marchés ont des avantages et des désavantages, mais il est impossible d’ignorer ce qui se passe actuellement dans la LNH.

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