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Les Rangers prêts à se séparer de Lafrenière

Les Rangers de New York ont traversé une saison 2024-2025 particulièrement difficile. Attendus parmi les favoris pour soulever la Coupe Stanley, les Blueshirts n’ont jamais réussi à répondre aux attentes. Un an après avoir remporté le trophée des Présidents, ils ont raté les éliminatoires pour la première fois depuis 2021.

Face à ce revers majeur, la direction n’a pas tardé à réagir. Le congédiement de Peter Laviolette au profit de Mike Sullivan a marqué le début d’une série de décisions destinées à secouer l’organisation. Et, selon toute vraisemblance, d’autres mouvements d’envergure sont à prévoir.

D’après Arthur Staple de The Athletic, seuls trois joueurs sont jugés intouchables par les Rangers : Igor Shesterkin, Artemi Panarin et Adam Fox. Tous les autres membres de l’effectif pourraient donc être inclus dans des négociations de transactions.

Dans les noms les plus souvent mentionnés en coulisses, celui d’Alexis Lafrenière revient avec insistance. Ne figurant pas parmi les « intouchables », le Québécois serait très disponible sur le marché des échanges. Le journaliste Larry Brooks, bien branché sur les activités internes de l’équipe, affirme que le dossier Lafrenière a été abordé lors du Combine de la Ligue nationale de hockey (LNH), tenu la semaine dernière.

Avec un besoin en défense, le directeur général Chris Drury pourrait envisager de transiger l’ancien tout premier choix au repêchage de 2020. Bien qu’il possède encore un fort potentiel, Lafrenière tarde à répondre aux attentes élevées liées à son rang de sélection. Les Rangers pourraient donc chercher à maximiser sa valeur actuelle.

Statistiquement, l’attaquant de 23 ans a connu un recul en 2024-2025, récoltant 45 points – en baisse par rapport à son sommet de 57 points (28 buts, 29 passes) atteints la campagne précédente. Pourtant, il avait amorcé l’exercice en force avec 20 points à ses 26 premiers matchs. L’ancien porte-couleurs de l’Océanic de Rimouski entamera l’an prochain la première saison d’un contrat de sept ans d’une valeur annuelle de 7,45 M$.

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