Ils ont connu de belles carrières, mais pour une raison ou une autre, ces gardiens n’ont jamais été capables de remporter la coupe Stanley. Top 10!
Roberto Luongo
Bobby Lu est arrivé à une victoire de mener les Canucks à la coupe Stanley, en 2011, alors qu’ils ont perdu en sept matchs en finale contre les Bruins. Il est néanmoins deuxième de l’histoire avec 1044 matchs joués et quatrième avec 489 victoires. Il n’a toutefois joué que 70 rencontres éliminatoires (40e). La preuve qu’il n’a pas toujours joué derrière de bonnes équipes, surtout en Floride.
Curtis Joseph
Septième de l’histoire pour les matchs joués (943), les victoires (454) et les rencontres en séries (133), Joseph n’a jamais même participé à la finale de la Coupe Stanley. Le plus loin qu’il s’est rendu, c’est en finale de l’Est avec les Maple Leafs de Toronto, en 2002.
Henrik Lundqvist
Le King a mené les Rangers de New York à la finale en 2014, avant de perdre en cinq matchs contre les Kings de Los Angeles. Chez les gardiens, Lundqvist est 10e pour les rencontres en séries (130), neuvième pour les matchs réguliers (887) et sixième pour les victoires (459).
Carey Price
Sa retraite n’a pas encore été officialisée, mais c’est tout comme. Price a mené le Canadien à la finale de l’Est, en 2014, et — à la surprise générale — à la finale de la Coupe Stanley en 2021. Cette année-là, il a présenté une moyenne de 2,28 et une efficacité de ,924 en séries. Ce qu’il avait été bon! Price est présentement 28e pour les matchs réguliers joués (712), 22e pour les victoires (361) et 26e pour les rencontres en séries (92).
Ryan Miller
Ayant joué 796 matchs réguliers (18e) et en ayant remporté 391 (14e), Miller n’a jamais disputé la finale de la Coupe Stanley. Deux fois avec les Sabres de Buffalo, en 2006 et 2007, son parcours s’est stoppé en finale de l’Est.
Pekka Rinne
Comme Price, Rinne a joué pour une seule équipe au cours de sa belle carrière de 683 matchs (33e) et 369 victoires (20e): les Predators de Nashville. Les Penguins de Pittsburgh les ont vaincus en grande finale, en 2017. Le Finlandais totalise 89 rencontres en séries (27e).
John Vanbiesbrouck
Le petit gardien américain a disputé 882 matchs réguliers en carrière (11e) et 71 en séries (37e). Du lot, il n’en a gagné que 28 (56e). C’est lui qui était le partant des Panthers de la Floride quand ils ont atteint la finale de la Coupe Stanley à leur troisième saison d’existence seulement, en 1996.
Evgeni Nabokov
À la belle époque des Sharks, c’est Nabokov qui était leur numéro un. Avec lui, les requins ne sont pas allés plus loin que la finale de l’Ouest, en 2004 et 2010. Le Russe a fini sa carrière dans le Top 30 pour les victoires (353), les gains en séries (42) et les matchs éliminatoires (86).
Miikka Kiprusoff
Quand Martin St-Louis et le Lightning ont remporté la coupe Stanley en 2004, qui était devant le filet des Flames? Kiprusoff. Auteur de 319 victoires (32e) en 623 matchs (47e) en saison régulière, Kipper a disputé seulement 56 rencontres éliminatoires à vie (53e), dont 26 en 2004.
Ron Hextall
Hextall est peut-être 50e pour les matchs et 42e pour les victoires en saison régulière, mais il fait partie du Top 25 autant pour les rencontres (93) que pour les gains en séries (47). Le plus loin qu’il est allé, c’est lors de sa saison recrue, en 1986-1987, alors que ses Flyers ont perdu en finale contre les Oilers d’Edmonton.
Mention honorable
Olaf Kolzig, Daniel Bouchard, Eddie Giacomin, Mike Liut, José Théodore, Kelly Hrudey et Sean Burke
