Credit: Dennis Schneidler-USA TODAY Sports

Trouba n’a aucune rancune envers les Rangers

Dans les jours avant l’ouverture du marché des joueurs autonomes, deux dossiers ont beaucoup fait jaser dans le camp des Rangers.

Il y a celui de Barclay Goodrow qui a bloqué une transaction l’envoyant à San Jose et, pour contourner le tout et économiser sur son salaire de 3.6 millions $, a été envoyé au ballottage par le DG Chris Drury, en sachant très bien que Mike Grier allait réclamer l’attaquant.

Puis, quelques jours plus tard, la rumeur que Drury voulait échanger son capitaine Jacob Trouba et son salaire annuel de 8 millions $ en profitant du fait que sa clause de non-échange complète en devenait une partielle au 1er juillet.

Finalement, ce plan ne s’est pas concrétisé et le principal intéressé va demeurer un Blue Shirt, à tout le moins pour la saison à venir.

D’ailleurs, le capitaine des Rangers n’entretient aucune rancune envers son patron.

En marge du début d’une exposition avec ses peintures, Trouba a vanté le fait qu’il a toujours eu une bonne relation avec Chris Drury.

« Cela fait partie du métier. Je savais qu’une partie de mon contrat se transformait cette année (en une liste de non-échange), et j’ai soumis une liste. C’est ce que j’ai fait. Tout le reste n’était que du vent. Je suis heureux d’être ici. Je suis excité à l’idée d’entamer la saison. Une grande opportunité s’offre à nous. » – Jacob Trouba

Cela dit, s’il est toujours à New York, il doit remercier son agent Kurt Overhardt pour sa clairvoyance puisque les Rangers ont demandé à Trouba sa liste d’équipes où il ne veut pas être transigé quelques jours avant qu’elle ne soit effective, le 1er juillet.

L’agent a vu clair dans le jeu de Drury et plutôt que de répondre à cette requête à l’avance, il a respecté les droits de son client et a remis la fameuse liste le 1er juillet, comme supposé. Le temps que ça se fasse, le marché des joueurs autonomes sans compensation était déjà en ébullition et trop tard pour ficeler une transaction impliquant le défenseur.

C’est une bonne chose, car, sur le plan familial, Jacob Trouba tenait absolument à demeurer à New York!

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