Lors de cette valse du printemps 2025, les Rangers de New York n’ont pas été en mesure de danser, terminant leur course au 5e rang des formations repêchées avec une cueillette de 85 points. Évidemment, en raison d’une saison aussi catastrophique, quelqu’un devait payer et c’est, sans aucune surprise, le pilote en chef Peter Laviolette qui a sauté.
Chris Drury n’a toutefois pas tardé, embauchant rapidement l’un des meilleurs entraîneurs du circuit, soit Mike Sullivan, qui, lui, a été limogé par les Penguins de Pittsburgh après une décennie à les diriger.
Toute cette mise en place m’amène à jaser de J.T. Miller, un joueur que j’admire copieusement. Outre ses performances éloquentes dès son arrivée au sein des Blueshirts, avec qui il a récolté 35 points en 32 duels, Miller est tout un golfeur. Le pivot de 32 ans a certes été le rouage le plus important des Rangers pendant cette lutte afin de se tailler une place pour les éliminatoires… Au final, tout ce beau monde s’est ramassé sur un gazon vert!
Dans le cas de Miller, se retrouver sur un terrain de golf demeure naturel, puisque, pour lui, c’est beaucoup plus qu’un simple hobby. Miller demeure un grand passionné de ce sport, lui qui a d’ailleurs essayé de se tailler un poste pour l’Omnium des États-Unis. Ce tournoi est grandiose puisqu’il figure parmi les quatre tournois du Grand Chelem. Malheureusement pour Miller, il n’est pas parvenu à se tailler une place pour cet événement.
Pour tenter de se qualifier, Miller a participé à des qualifications du côté de la Pennsylvanie et celui-ci est parvenu à livrer une carte de 76 (+4). Soulignons que le «golfeur» de 32 ans aurait pu décrocher un poste de remplaçant lors de l’événement, mais il lui manquait quatre coups.
«J’ai tenté ma chance à trois reprises jusqu’ici. Je pense que je suis de moins en moins nerveux. Mais aujourd’hui, sur le premier vert, je n’étais même pas en mesure de tenir mon putter!» – Miller
Sur un «green», Miller est forcément moins «mean» que sur une surface glacée, hein?
