Credit: Eric Bolte-Imagn Images

Xhekaj: le bouton Nicolas Deslauriers enclenché?

Vendredi soir, le Canadien de Montréal sera de retour à la maison, pour la troisième joute de sa série de premier tour contre les Capitals de Washington.

Il est assez clair que le Centre Bell sera en feu, en vue de cette rencontre, car le hockey des séries à Montréal, c’est autre chose, tout simplement.

Verra-t-on le retour d’Arber Xhekaj dans l’alignement? L’histoire ne le dit pas encore, alors que Martin St-Louis n’a pas encore officiellement annoncé ses combinaisons pour le match.

Au cours de l’année, compte tenu que le Shérif a été laissé de côté à quelques reprises, la suggestion de le faire évoluer à l’attaque est revenue souvent. Comme nous le savons, le 72 a déjà joué à l’attaque lors de ses débuts avec les Rangers de Kitchener, jadis.

« Lors de ma première année, j’étais utilisé tantôt à l’attaque, tantôt à la défense, avait raconté Xhekaj à l’auteur de ces lignes dans une entrevue réalisée en avril 2022. Je pense que c’est seulement à la mi-chemin de ma deuxième saison dans le junior majeur que j’ai intégré le top-4. » – Arber Xhekaj

Honnêtement, bien que l’idée soit audacieuse, car le CH disputera le duel le plus important de sa saison, ça pourrait être une option viable. Montréal a besoin d’un aspect physique supplémentaire et aucun des défenseurs ne méritent de se faire sortir.

Comme dirait l’humoriste Dominic Paquet: « ON L’FAIT!? »

Plusieurs exemples similaires, non seulement chez le Tricolore, mais également dans la LNH, sont dignes d’une mention, dont Mark Streit, Mathieu Dandenault, Marc-André Bergeron et Yannick Weber.

On peut aussi penser à Dustin Byfuglien, Brent Burns et Nicolas Deslauriers, qui représentent davantage des comparatifs logiques avec Xhekaj.

Arber Xhekaj pourrait-il devenir la version moderne de Nicolas Deslauriers, considérant leurs particularités comparables?

Ce serait un véritable coup d’éclat, en ce troisième match, certes, mais ce scénario est improbable, surtout dans le contexte actuel des séries éliminatoires, alors que l’enjeu est colossal du côté montréalais. Mais bon, on peut toujours rêver.

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