Gary Bettman (crédit photo : nhl.com)

Bettman : « J’aimerais beaucoup amener le Canadien en Europe »

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CENTRE BELL, MONTRÉAL – Le commissaire de la Ligue nationale de hockey (LNH), Gary Bettman, a rencontré les médias, mardi, lors de son passage à Montréal avant le match opposant le Canadien et les Bruins de Boston. Bettman a abordé plusieurs sujets. Voici quelques éléments de sa conférence de presse.

Tout d’abord, Bettman a débuté en mentionnant qu’il n’avait rien à annoncer. « Je suis ici juste parce que j’aime venir à Montréal pour regarder des matchs. C’est un endroit qui a une grande passion pour le hockey. L’histoire et la tradition du Canadien sont comme nul part ailleurs », a lancé d’entrée de jeu le commissaire de la LNH.

Parmi les sujets abordés, Bettman a mentionné que la LNH avait des plans pour que le Tricolore dispute quelques matchs en Europe dans le futur. Il a ajouté que le propriétaire du Canadien, Geoff Molson, est co-président d’un comité, incluant d’autres directeurs généraux, qui se penche sur la question des matchs présentés outre-mer. Il est donc très optimiste de voir le Bleu-Blanc-Rouge effectuer un petit voyage en Europe dans les années à venir. « Il faut avoir le bon marché et évaluer les coûts. C’est quelque chose de possible à mon avis. J’aimerais beaucoup amener le Canadien en Europe », a affirmé Bettman.

Sur la question d’organiser un match du Canadien à l’extérieur à Montréal, le commissaire s’est montré très pessimiste. « Vous n’avez pas les infrastructures. Allez-vous retirer le toit du Stade olympique? Si oui, on pourra en reparler. Mais Montréal n’est tout simplement pas bien équipé pour qu’on puisse y tenir un tel évènement », a-t-il avoué.

Bettman à l’aise avec la manière de gérer l’obstruction sur le gardien

Un collègue a posé à Bettman si la ligue avait un plan pour clarifier le règlement de l’obstruction sur le gardien qui diffère d’un match à l’autre. « Des fois les personnes disent ne pas comprendre les décisions juste parce qu’elles n’aiment pas le résultat. Ce sont des appels jugés. Nous sommes vraiment confortables avec la façon dont les appels sont faits, particulièrement avec la reprise vidéo. […] On pense que c’est moins pire qu’avant. Ce n’est pas un problème aussi important que vous le pensez », a souligné l’homme de 70 ans.

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