Selon les dires récents de Don Waddell, nouvellement en poste comme directeur général des Blue Jackets de Columbus, seulement une formation serait réellement intéressée par les services de Patrik Laine.
Si l’on se fie au rapport déposé par Michael Russo, cette organisation pourrait être le Wild du Minnesota. Mais celle-ci ne possède pas beaucoup de marge de manœuvre sous le plafond, ce qui peut paralyser les discussions actuelles.
«Patrik Laine au Wild, c’est une évidence, mais le faire fonctionner, c’est un casse-tête. Le Wild a de l’intérêt, mais le faire correspondre à leur situation de plafond est une corvée!»
Au moment de composer ce bref billet, Bill Guerin possède 756 000$ sous le plafond, ce qui est peu suffisant pour greffer les 8,7 millions de dollars qu’empoche Patrik Laine.
On sait d’emblée que Waddell est conscient qu’il devra retenir 50% du salaire du Finlandais afin de réussir à le traiter. Et si ce n’est pas suffisant, une troisième équipe pourrait se présenter dans le portrait pour retenir une autre partie du salaire de Laine en retour d’un choix au repêchage.
Ça pourrait être le genre des Canadiens de Montréal et Kent Hughes de poser un tel geste. Quoique le Tricolore possède déjà une collection de choix et d’espoirs.
Chez le Wild, beaucoup de pions possèdent une clause, soit de non-échange ou de non-mouvement, ce qui limite certes les gestes de Guerin. Néanmoins, un certain Yakov Trenin, qui empoche un salaire moyen de 3,5 millions de dollars, pourrait être sacrifié.
Sauf que celui-ci vient tout juste de signer un accord de quatre ans avec le Wild, ce qui ne serait pas logique de s’en départir aussi hâtivement.
Tout compte fait, on peut désormais comprendre les raisons qui font en sortes que Laine soit toujours au sein des Jackets de Columbus.
