Credit: David Kirouac-USA TODAY Sports

Voici l’erreur des Sénateurs que le CH ne doit pas imiter

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Il y a eu, au fil des saisons, plusieurs clubs un peu partout dans la LNH, qui ont décidé de se lancer dans une reconstruction pour rebâtir un alignement digne d’être compétitif pour les grands honneurs.

Juste dans la division Atlantique, on retrouve d’autres exemples dans l’histoire récente, comme les Red Wings, les Sénateurs et les Sabres… quoiqu’eux, malheureusement, ça fait plus d’une dizaine d’années que ça dure!

Le Canadien est sur le point de passer à la prochaine étape de son plan et comme Marco D’Amico l’a relevé avec justesse dans son texte, plus tôt aujourd’hui, Kent Hughes et son équipe devront maintenant être vigilants sur la gestion des actifs en place.

Après tout, le Tricolore a beaucoup repêché au cours des derniers étés et il compte pas moins d’une vingtaine de joueurs de moins de 23 ans dans l’organisation, sans compter les autres espoirs repêchés et qui sont sur la liste de réserve.

Le chroniqueur fait un parallèle avec les Sénateurs qui n’ont pas su prendre la bonne décision, au bon moment, avec trois jeunes dans leur giron.

Jacob Bernard-Docker, un premier choix en 2018, pourrait avoir enfin une place dans l’alignement régulier cet automne. Erik Brannstrom, la pièce maitresse dans la transaction Mark Stone, n’a pas eu d’offre qualificative et il a été perdu pour rien sur le marché des joueurs autonomes.

Lassi Thomson, un autre choix de première ronde, a eu de bons moments dans la Ligue américaine, mais il a été perdu au ballottage aux mains des Ducks l’automne dernier, avant d’être récupéré de la même façon. Mais la valse-hésitation dans son dossier a fait que le défenseur a décidé de retourner en Europe. Il devient donc un autre joueur en qui les Sénateurs ont investi pour son développement et qui a été perdu pour rien.

Au cours des prochains mois, voire des prochaines années, plusieurs joueurs du Tricolore vont s’améliorer et vont cogner à la porte de la LNH. On voit déjà un surplus de défenseurs actuellement, mais ce surplus pourrait augmenter si le statu quo demeure.

Kent Hughes devra éventuellement trancher dans le cas de plusieurs, avec son équipe, afin d’aller chercher le maximum de la valeur de ceux-ci sur le marché des transactions, comme il l’a fait avec Johnathan Kovacevic.

Au cours de la prochaine année, certains, comme Emil Heineman et Sean Farrell, devront passer par le ballottage pour évoluer avec le Rocket à Laval!

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