Jordan Binnington est devenu le numéro un du Canada dès le premier duel des 4 Nations, coiffant ainsi Adin Hill et Samuel Montembeault. À ce moment, je ne connais aucune personne, aucun spécialiste et aucun Canadien qui se sont rangés derrière cette décision «douteuse» de Jon Cooper.
Lors du premier match, face aux Suédois, le cerbère canadien a accordé au moins deux muffins dans un gain de 4-3 en prolongation et il a couronné cette rencontre avec un pourcentage d’efficacité de 88,5%.
Contre les États-Unis, pendant la joute des trois bagarres en neuf secondes, il a bien fait, mais il s’est permis au moins un sapin. Il a tout de même conclu cette lutte avec une efficacité de 90,9%.
Puis, contre la Finlande, dans un succès de 5-3, il a offert un ou deux cadeaux aux Finlandais… Il a donc achevé ce duel avec un taux d’efficacité de 88,5%.
Les critiques pleuvaient sur son coco… et, depuis hier soir, plusieurs mea-culpa sont déposés sur les réseaux sociaux, à la radio et à la télé. Avec raison! Binnington a prouvé qu’il était un véritable « gamer » et qu’il était en mesure de se hisser parmi les meilleurs joueurs de son pays. On parle souvent de sa force de caractère, puis, jeudi soir, il s’est dressé tel un cerbère numéro un.
Tout ça me guide vers cette séquence entre Binnington et Cooper. Un moment excessivement émotif entre les deux hommes. Cooper a bien fait de tenir son bout et de lui octroyer toute sa confiance. Binnington était certes très émotif pendant cette accolade avec son entraîneur canadien.
How much you wanna bet Cooper’s message to Binnington was something like: Way to say F the haters with a big game like that pic.twitter.com/AzIMtfQy04
— David Alter (@dalter) February 21, 2025
Lors de ce gain ultime, il a présenté une feuille de statistiques hallucinante avec un pourcentage de 93,9%, ce qui est fabuleux. Il a donc vaincu le «plus meilleur» gardien de la Ligue nationale de hockey, soit Connor Hellebuyck.