Que se passera-t-il avec le dossier de Jake Evans, un joueur développé au sein de l’organisation des Canadiens de Montréal? Kent Hughes l’enverra-t-il sous d’autres cieux d’ici la date limite des transactions? Choisira-t-il d’accepter de lui octroyer 20 millions de dollars (quatre ans)? Les deux clans mettront-ils de l’eau dans leur vin afin de poursuivre cette association?
Plusieurs questions tournent, mais une chose demeure assurée: Evans est confortable et excessivement heureux au sein de ce groupe tissé très serré. Il joue d’ailleurs un rôle capital au sein de ce club bleu-blanc-rouge et celui-ci est bien plus qu’un simple quatrième pivot… Evans joue en moyenne 15 minutes 34, dont près de trois minutes en désavantage numérique.
Sans compter son aisance dans le cercle des mises en jeu (52,8%) et sa participation somme toute régulière sur la carte de pointage, lui qui affiche 12 buts et 28 points en 61 rencontres. Il demeure un rouage capital pour cette formation, encore plus depuis que Kirby Dach se retrouve sur la liste des éclopés. Bref, selon certains spécialistes, au prix juste, il doit demeurer à Montréal…
Et, selon Darren Dreger, les négociations ne sont pas au point mort avec le clan Evans:
«Rappelons que les choses peuvent changer rapidement à cette période de l’année. Alors que Jake Evans fait l’objet d’un intérêt marqué pour un échange, les Canadiens continuent de discuter d’une prolongation progressive avec lui. Une possibilité qui n’est pas écartée.»
Personnellement, je demeure à l’aise avec les 4 millions de dollars annuellement. Certains stipulent que Evans, ça vaut environ 3,5M$… Sommes-nous en train de nous obstiner pour 500 000$? Au pire, let’s go pour un pacte annuel de 3,5M$, mais avec quelques bonis attachés à celui-ci. Chaque problème possède une solution, on m’a appris ça au courant de ma vie!
