Corey Perry est désormais un membre des Oilers d’Edmonton, mais son passage chez les Hawks de Chicago l’a marqué au fer chaud à jamais (ou presque). On ne connait pas les détails du dossier et quelle règle Perry a enfreinte, mais selon l’organisation de l’Illinois, ça méritait une résiliation de contrat.
Perry a accepté tout ça, il a tenu tout ça au silence, mais il n’en demeure pas moins qu’il se retrouve avec une crotte sur le cœur et qu’il pourrait agir afin de rectifier la situation. Selon lui, il n’y avait aucun motif pour mettre fin à son contrat, comme Frank Seravalli l’a déposé.
Bettman révèle que Corey Perry a un grief en cours – mais non déposé – contre les Blackhawks parce qu’il dit que Perry estime qu’ils n’avaient pas les bons motifs pour mettre fin à son contrat.
Selon ce qui est indiqué à travers la convention collective, le joueur «fautif» et l’AJLNH ont 60 jours pour déposer un grief. Pour le moment, le papier est prêt, mais il n’a pas été déposé, rappelons-le.
Lors de son passage marqué chez les Hawks, Perry a démontré beaucoup d’étoffe en jouant exactement comme seule Corey Perry sait le faire et en amassant sa part de points (9 points en 16 matchs).
Chez les Oilers, il se retrouve sur la troisième combinaison et sur la deuxième vague de l’attaque massive, endroit où il finira par s’imposer. N’oublions pas qu’il a été acquis pour une raison capitale : son aisance à monter son niveau de jeu de deux crans en séries.