Juraj Slafkovsky fait couler beaucoup d’encre depuis deux mois, lui qui est devenu l’une des pierres angulaires chez les Canadiens de Montréal. Slaf s’impose grâce à sa force physique, ce qui lui permet de se rapprocher de plus en plus du qualificatif «attaquant de puissance».
Plus il se développe, plus on a tendance à évoquer que c’est avec des Slaf que tu gagnes en séries, et non avec des joueurs frêles aux mains magiques. Stéphane Waite ne s’est pas gêné pour comparer le grand gaillard du Tricolore au petit dauphin des Coyotes de l’Arizona, soit Logan Cooley.
Waite a lancé sans équivoque que «c’est avec des joueurs comme Slafkovsky que tu gagnes en série», tout en lançant Cooley sous l’autobus sans aucun souci.
Voici l’extrait en question :
« C’est avec des joueurs comme Slafkovsky que tu gagnes en série » – Stéphane Waite pic.twitter.com/7Ox3dU4i6o
— L'Antichambre (@Antichambre) February 8, 2024
Il n’a pas tort, mais est-il obligé de parler ainsi de Cooley? Je pose la question!
Cela dit, Slaf est un gamer, un jeune qui déborde de caractère et il l’a une fois de plus démontré mardi soir dernier, face aux Capitals. Son nom a une fois de plus été le plus populaire chez le bleu-blanc-rouge.
Après avoir livré sa déception au sujet du départ de Sean Monahan vers Winnipeg, il est débarqué avec beaucoup de panache lors du retour au jeu de la Flanelle. Il s’est permis un doublé et son étoffe a inspiré ses coéquipiers. Rien de mieux qu’une telle prestance pour démontrer ce qu’on a dans le slip-coquille.