Crédit: Compte X de @Uggg_uggg

Depuis qu’il est débarqué au Canada, Ivan Demidov a certes constaté à quel point sa popularité se situait à un niveau qu’il ne devait pas imaginer. Le jeune russe de 19 ans est débarqué à l’aéroport Pearson, où il a été escorté par des agents de la paix, ce qui a grandement surpris ma conjointe. Elle n’était pas consciente, à ce moment-là, de l’importance de Demidov ni du classement exceptionnel de son statut.

Demidov lui-même a fort probablement constaté que l’organisation des Canadiens de Montréal, c’était plus gros que n’importe quels autres sports au Canada/Québec. Il est fort probablement resté estomaqué par ce puissant accueil, même loin des lentilles montréalaises. La stupéfaction dans son regard était certes palpable, même si je n’étais pas présent à l’aéroport Pearson de Toronto.

Mais Demidov, c’est Demidov. Il demeure un individu hors pair avant d’être un joueur de hockey qui frôle le titre d’exceptionnel. Le bleu-blanc-rouge possède ce désir profond de greffer de bonnes personnes à son organisation afin que ça tourne rond dans le vestiaire de ses formations (CH et Rocket).

Cela dit, une phrase au sujet de Demidov est venue m’interpeller et celle-ci a été déposée par Craig Button, lors du balado de Tony Marinaro (The Sick Podcast with Tony Marinaro). Il est question de toute cette pression qui rôde autour d’Ivan Demidov, la nouvelle coqueluche des Canadiens de Montréal.

«Je ne sais pas s’il y a une pression supplémentaire que Demidov n’a pas gérée avec brio jusqu’à présent!»

Toujours lors de cet épisode du Sick Podcast, une autre phrase que j’ai mémorisée demeure celle-ci: «Il y a quelque chose de différent en ce moment. Le niveau d’excitation au Centre Bell résonne avec cette base de fans plus que par le passé!»

Cette élocution de Brian Wilde résume parfaitement ce qui se passe actuellement au Centre Bell!

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