La nouvelle du jour la moins surprenante: Macklin Celebrini a paraphé son pacte d’entrée de trois ans avec les Sharks de San Jose. Ça veut donc dire que Celebrini amorcera son parcours dans la LNH, lui qui possède l’étoffe afin de s’imposer rapidement au sein du meilleur circuit de la planète!
The Sharks officially sign Macklin Celebrini to a 3-year entry level contract!✍️ pic.twitter.com/PK1mdZSlXn
— TSN (@TSN_Sports) July 6, 2024
Mike Grier a d’ailleurs, au passage, encensé sa jeune étoile pour qui il a beaucoup d’admiration:
«Macklin n’est pas seulement un joueur spécial sur la glace, mais c’est aussi un jeune homme équilibré, confiant et intelligent en dehors de la glace. Sa combinaison de compétences et de sens du hockey est rare et nous sommes extrêmement confiants qu’il est prêt à faire la transition pour devenir un joueur à temps plein de la LNH.»
Mike Grier: “Macklin is not only a special player on the ice, but he is a poised, confident & intelligent young man off of it. His combination of skills & hockey sense is rare & we are extremely confident that he is ready to make the transition to being a full-time NHL player."
— Sheng Peng (@Sheng_Peng) July 6, 2024
Rappelons que le joueur de centre de 18 ans a raflé le trophée Hobey-Baker à la suite de sa toute première campagne dans un maillot de l’Université de Boston (NCAA). Avec cette prestigieuse franchise, il s’est permis un total monstrueux de 64 points, dont 32 buts, en 38 duels.
Celebrini, qui est un peu un joueur local puisque son père œuvre pour l’organisation des Warriors de Golden State, n’était pas certain d’entamer son itinéraire avec les Sharks cette année, pensant retourner à Boston University. Sa décision n’a finalement pas tardé et le kid est excité à l’idée d’enfiler ce tricot sarcelle.
J’imagine que les moments qu’il vient de passer avec Will Smith lors du camp de développement des Sharks ont pesé dans la balance. Les deux jeunots seront certes l’un des meilleurs one-two punch de la Ligue nationale d’ici quelques années.
Bref, les Sharks de Simon «Snake» Boisvert commencent à présenter un portrait beaucoup moins abstrait.