© Marc DesRosiers-Imagn Images

Martin St-Louis voit certes les choses différemment

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Une vraie varlope! Les Canadiens de Montréal se sont fait humilier et détruire par les Rangers de New York mardi soir, en direct du Centre Bell, par le pointage de 7 à 2. Après cette humiliation, on sentait très peu de fierté dans le dialogue de Martin St-Louis, qui a plutôt choisi de s’essuyer et recommencer. À la suite d’une prestance aussi médiocre, c’est le meilleur itinéraire à emprunter…

Le pilote en chef était, à l’instar de ses ouailles, très désappointé à la suite de cette joute catastrophique, indiquant au passage qu’il allait observer le match à nouveau afin d’apporter les correctifs nécessaires.

«Je suis très déçu du résultat, mais je vais probablement rentrer à la maison, probablement regarder le match et j’aurai un plan demain parce qu’il n’y a rien que nous puissions faire ce soir à propos de ce soir. Ce match est terminé, maintenant, c’est la suite qui est importante pour moi…» – Saint-Louis

St-Louis notera certes des tonnes d’erreurs et il s’apercevra probablement que son équipe n’a peut-être pas encore l’étoffe pour être dans le mix, surtout lorsque des joueurs de premier plan, comme Juraj Slafkovsky et Patrik Laine, se retrouvent sur les lignes de côté. C’est lors de ces moments que l’on constate à quel point le manque de profondeur à l’attaque est flagrant.

À ce sujet, MSL ne s’est pas planté la tête profondément dans le sol, déposant que son groupe n’y était peut-être pas encore. Le coach voit certes les choses différemment en ce moment…

«Ce soir, c’est l’une de ces soirées où nous avons été un peu humiliés par rapport à ce à quoi nous essayons réellement de ressembler. Nous n’y sommes peut-être pas encore, mais nous allons travailler pour y arriver et j’espère que nous arriverons à un point où nous humilierons les équipes.» – St-Louis

Le bleu-blanc-rouge doit désormais retourner sur la table à dessin, garder la tête haute et se présenter samedi, face aux Blues de Saint-Louis, dans un bon état d’esprit. Mais disons que d’ici là, Martin St-Louis et son groupe passeront beaucoup de temps à peaufiner les détails…

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