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Patrik Laine ne déteste plus Brendan Gallagher

Lorsqu’un joueur affronte Brendan Gallagher, il le détestera (comme joueur) d’entrée de jeu. On peut tenir le même discours pour les partisans adverses, comme ceux des Sénateurs d’Ottawa, par exemple. Parmi cette multitude d’individus qui haïssent copieusement le diminutif numéro 11, on retrouvait jadis Patrik Laine, aujourd’hui coéquipier de Gally chez les Habitants de Montréal.

D’ailleurs, Patty s’est confié au sujet de la haine qu’il entretenait envers Gally, maintenant dissipé en totalité:

«Je l’haïssais! Pendant 8 ans, je détestais Brendan Gallagher sur la glace. Mais maintenant que je l’ai rencontré et que je suis son coéquipier, je suis un grand fan!» – Laine

Laine n’est pas différent des autres. Vous demanderez à David Savard ce qu’il pensait de la petite peste des Canadiens de Montréal lorsqu’il évoluait pour les Blue Jackets de Columbus ou le Lightning de Tampa Bay. Le dialogue sera assurément très similaire à celui du Finlandais.

Comme partisans de la Sainte-Flanelle, vous détestez tous Brad Marchand, mais s’il endossait un uniforme orné de bleu, de blanc et de rouge, il serait l’un des favoris de la foule. C’est la même chose également pour Brady Tkachuk, qui serait l’idole du peuple québécois si Marc Bergevin avait sélectionné celui-ci au lieu de se tourner vers Jesperi Kotkaniemi.

Un humain comme Gallagher laisse son cœur, son corps et son âme sur la surface glacée à chacune de ses présences. Il se sacrifie tous les matchs, il est excessivement dur sur son corps et il joue comme un guerrier en tout temps. Il demeure un exemple parfait du type de culture qu’une formation souhaite instaurer, tout comme son partenaire de trio, Josh Anderson.

Bref, on peut comprendre entièrement Laine de ce coup de foudre envers un joueur comme Brendan Gallagher. Un VRAI de VRAI, comme on dit en bon québécois!

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