Steven Stamkos a enfilé son maillot jaune et son uniforme des Predators de Nashville mardi après-midi et disons que de l’apercevoir ainsi donne un choc.
Steven Stamkos aux couleurs des Predators de Nashville… il me semble que c'est «particulier», non?#NHL #Smashville https://t.co/a38tyyZUqo
— Jeff Drouin (@JeffDrouin_LPB) July 16, 2024
D’ailleurs, celui-ci en a profité pour expliquer aux médias son choix d’opter pour cette formation édifiée dans la ville du country. On peut certes saisir la logique derrière sa réflexion.
«Quand tu es à la recherche d’une équipe dont tu veux faire partie, tu regardes les différentes pièces du casse-tête. Les gardiens, les défenseurs, les attaquants d’élite, Nashville avait tout ça, sans parler de l’aspect famille!», tel que rapporté par TVA Sports.
Nashville avait tout pour plaire à Stamkos: https://t.co/PabZ0XmTEd
— TVA Sports (@TVASports) July 16, 2024
On ne peut pas obstiner l’ancien capitaine du Lightning de Tampa Bay: les Preds ne possèdent aucune faille à travers leur alignement. La qualité des propos de Stamkos prouve qu’il recherchait un nid où les chances de gagner étaient élevées, tout comme son coéquipier Jonathan Marchessault.
Pour bâtir une équipe gagnante, ça prend un brigadier élite (Roman Josi), deux joueurs de centre de premier plan (Ryan O’Reilly et Steven Stamkos), un gardien efficace dans les moments capitaux (Juuse Saros) et une profondeur de haute qualité. L’unité d’Andrew Brunette possède tous ces ingrédients.
Le numéro 91 a également souligné le système de jeu préconisé par les Preds, soit d’activer rapidement la contre-attaque et distribuer le disque aussitôt aux joueurs de talent, une facette très charmante pour un joueur de la trempe de Steven Stamkos.
Tout compte fait, Stamkos et sa famille sont emballés par ce nouveau défi qui les attend, eux qui sont en train de magasiner une maison et rechercher une école pour les enfants.