Le nom de Nick Suzuki est littéralement sur toutes les lèvres depuis quelques semaines.
Le capitaine du Canadien de Montréal a pris le prochain pas dans son développement de hockeyeur, lui qui est l’un des meilleurs joueurs de la planète depuis le retour de la pauses des 4 Nations. Grâce à l’aplomb dans son jeu, le CH se retrouve en bonne posture, quant à une éventuelle place en séries éliminatoires, notamment.
Aussi, il faut souligner le fait que le 14 a récolté 84 points, dont 27 filets, en 77 sorties cette année, en plus de son impressionnant différentiel de +17. En compagnie de Juraj Slafkovsky et Cole Caufield, ces trois-là forment un trio redoutable pour se mesurer à leurs adversaires, surtout avec l’enjeu en cours.
Rappelons que Suzuki vient tout juste d’être nommé la deuxième étoile de la dernière semaine dans la LNH, ayant cumulé 7 points, dont 2 buts gagnants, en seulement 4 matchs. Alex Ovechkin et Robert Thomas, eux, complètent le podium.
Il s’agit d’une deuxième fois cette saison que Suzuki est nommé parmi les étoiles de la semaine dans la LNH, soit une première depuis le gardien Mike Condon en 2015-2015, soit presque 10 ans.
On doit dire qu’il s’agit d’un fait assez cocasse, d’autant plus que l’existence de Condon représente assurément un souvenir poussiéreux dans l’esprit des amateurs du Canadien, sous tout respect à l’ex cerbère.
Suzuki figure aussi dans la même catégorie que Max Pacioretty (2013-2014), Jaroslav Halak (2009-2010) et Carey Price (4 saisons), soit trois noms un peu plus connus, il n’y a aucun doute.
Ça prouve hors de tout doute que la campagne 2024-2025 de Nick Suzuki est extraordinaire, elle qui marquera clairement l’imaginaire des partisans locaux.
Pourra-t-il atteindre le plateau des 90 points? Notons qu’il lui reste cinq matchs pour y arriver, ce qui est totalement réalisable.
Des votes au trophée Hart, tant qu’on y est…?
