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Suzuki revient sur la fameuse jasette avec son DG

Tout le monde est de bonne humeur chez le Canadien de Montréal, au terme de la date butoir des échanges dans la LNH.

C’est connu, le Tricolore a opté pour le statu quo, soit de conserver les droits de ses agents libres sans compensation, tels que David Savard, Joel Armia et Christian Dvorak. En pleine course aux séries éliminatoires, les dirigeants croient visiblement aux chances de voir leur équipe réaliser l’impensable, soit de voir du hockey à Montréal au printemps.

On sait que Kent Hughes a mentionné à ses joueurs de lui forcer la main, afin de ne pas être vendeur à la date limite des échanges, chose qui a été réalisée. Le CH avait remporté tous ses matchs depuis le retour de la pause des 4 Nations, avant celui contre Calgary, ce qui n’a pas laissé le choix à Kent Hughes de récompenser ses joueurs.

D’ailleurs, Nick Suzuki a eu une discussion importante avec son DG, quant à l’ensemble de cette situation, et il a révélé davantage de détails sur sa jasette avec le patron, via une entrevue avec le journaliste Renaud Lavoie.

« Je suis vraiment heureux qu’aucun joueur n’ait été échangé, car j’aime tous les gars dans cette chambre. On croit en ce qu’on est en train de bâtir depuis quelques années. J’ai dit aux dirigeants d’avoir confiance en notre groupe uni pour tenter de participer aux séries. Belle conversation avec Kent. Nous étions dans une position où il pensait conserver tout le monde, mais nous devions aller faire notre travail, soit de gagner quelques matchs au retour de la pause, chose qu’on a faite. Il a respecté sa part du pari et je suis content qu’il l’ait fait. » – Nick Suzuki

Le numéro 14 a été catégorique à quelques reprises, soit qu’il veut voir son équipe revenir en séries éliminatoires, donc on comprend que son message a été entendu par l’organisation.

Le CH jouera des matchs significatifs au cours des semaines à venir, donc les duels ne seront pas inintéressants, contrairement aux scénarios des trois dernières années. Montréal a de réelles chances de réussir ce qui semblait impossible en octobre dernier, et il est clair que les partisans locaux en sont contents.

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