Comme l’ami Renaud Lavoie l’a déposé lors de son segment «La mise en échec» via l’émission de JiC, c’est aberrant d’apercevoir Sam Bennett sur le banc de surplus (le 13e attaquant). Je suis totalement en harmonie avec Renaud, puisque Bennett possède un don pour sortir des joueurs de leur match, ou pour livrer un petit coup salaud que les officiels ne voient pas. Bennett est un joueur unique. Ce qu’il peint sur la glace le rend indispensable.
À mes yeux, son utilité n’a aucun égal lorsque ça compte, soit lors des joutes de haut niveau. Le nom qu’on accole à ce style de jeu qu’il préconise? Un gamer. Ce type de guerrier devrait certes se retrouver au sein de la quatrième combinaison du Canada. Ce soldat possède une Coupe Stanley et personne ne joue avec autant de hargne lors d’une rencontre. J’adore Travis Konecny, mais pour gagner, je choisis Bennett les yeux fermés. Mais qui suis-je pour critiquer Jon Cooper?
Bref, c’est un non-sens!
Voici une portion du discours de Renaud, un dialogue que je considère très juste. Soulignons que c’est une question de goût et que vous avez amplement le droit de ne pas être en harmonie avec nous.
«Sam Bennett, qui a été amené ici pour justement déranger les joueurs des autres pays et les faire mal paraître, on lui dit “c’est super le fun que tu sois ici mon Sam, mais si on te met dans la formation, il y a des joueurs de la Suède qui n’aimeront pas ça!”. Ça va être plus facile pour la Suède d’affronter le Canada!» – Lavoie
Depuis l’amorce du calendrier 2024-25, le numéro 9 des Panthers de la Floride connaît d’excellents moments grâce à une cueillette de 35 points, dont 18 buts, en 55 parties. Rappelons qu’il termine la dernière année de son pacte qui lui permet d’empocher un salaire moyen de 4,425 millions de dollars.
