© Steve Roberts-Imagn Images

Zac Jones dit qu’il est en train de pourrir à New York 

PARTAGER

Le feu est «pogné» dans la cabane chez les Rangers de New York, alors que l’équipe n’est tout simplement pas capable d’arrêter de chuter au classement général de la LNH.

La pourriture semble réellement s’emparer de la Grosse Pomme, c’est le moins que l’on puisse dire…

La troupe de Peter Laviolette a cumulé une fiche de 16-19-1 en 36 matchs cette saison, se situant au 28e rang (33 points) dans le Circuit Bettman et en dernière place de la section Métropolitaine, tout juste derrière les Islanders de New York.

L’équipe a pourtant tenté de brasser la fourmilière, en échangeant Kaapo Kakko et Jacob Trouba, certes, mais ça n’a pas eu le résultat escompté, visiblement.

D’ailleurs, parlant de Trouba, le jeune Zac Jones, un arrière offensif talentueux, pensait obtenir plus d’opportunités avec les Rangers, étant donné le départ de son ancien capitaine, mais en vain. Le jeune loup de 24 ans semble réellement tanné de faire la navette entre la patinoire et la galerie de presse, n’étant pas capable de s’établir dans l’alignement des «Blueshirts».

Questionné sur son temps de glace, l’Américain a même laissé partir quelques jurons pour manifester son mécontentement, se comparant même à de la pourriture.

«C’est nul, vraiment nul. C’est frustrant quand tu penses que tu as de bonnes chances et qu’ensuite, tu es retiré de la formation encore et encore. J’ai un peu l’impression de pourrir.» – Zac Jones

Jones, 24 ans, a inscrit 8 points, en plus d’avoir maintenu un différentiel de +2, en 26 duels avec les Rangers en 2024-2025, ce qui est très respectable, étant donné ses limitations.

Il rappelle également qu’il a plusieurs sphères à améliorer dans son jeu, donc il considère qu’il doit jouer davantage, n’étant pas un joueur de 32 ans.

«Je ne suis pas un gars de 32 ans qui est seulement là pour récupérer son chèque de paie. Je suis un gars qui veut mériter sa paie. J’ai besoin de jouer. Je dois améliorer certaines choses pour être un joueur à temps plein et c’est ce que je veux devenir.» – Zac Jones

À noter que Jones a été un choix de troisième ronde des New-Yorkais lors du repêchage de 2019, lui qui est en voie de devenir agent libre avec restrictions, l’été prochain.

Que feront les Rangers pour se sortir de leur pétrin interminable? Avec le potentiel de cette formation, impliquant tous les canons comme Artemi Panarin, Mika Zibanejad et Adam Fox, notamment, sans compter Igor Shesterkin devant le filet, on s’attendait à beaucoup plus de leur part.

Quelqu’un devra sortir l’extincteur, car ce qui se passe à New York est en train de devenir une véritable catastrophe. Imaginez si les Rangers devaient se retrouver avec un choix dans le top-5 du repêchage 2025…

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *