Tout le monde est ravi de l’entente qu’a paraphé Jake Evans, soit 11,4 millions de dollars (2,85M$ annuellement) sur une période de quatre ans. C’est toute une aubaine puisque le clan du numéro 71 semblait exiger un accord pluriannuel de cinq ans, pour un montant de 20 millions, selon certaines informations qui circulaient. Au final, il a opté pour les Canadiens de Montréal et non pour le cash.
Félicitations à Jake Evans, qui, à l’instar de ses coéquipiers Cole Caufield et Nick Suzuki au préalable, a accepté un pacte moindre afin de demeurer un membre du bleu-blanc-rouge. Donc, lors des quatre prochaines campagnes, Jake Evans continuera à camper un rôle principal au sein de cette formation. Être l’un des meilleurs éléments du circuit sur le désavantage numérique, ça n’a pas de prix!
Cela dit, pour revenir à son nouveau pacte, qui se mettra en branle à partir du calendrier 2025-26, Renaud Lavoie a fourni quelques éléments supplémentaires. Ce pacte ne contient aucune clause de non-échange, un fait rarissime de nos jours, et aucun montant différé. Ça démontre à quel point Kent Hughes sait bien gérer les situations au sein de son groupe.
Le constat est simple: cette fraternité et cette culture, instaurées entre autres par Martin St-Louis, prouvent que les joueurs veulent demeurer au sein de cet environnement sain. D’ailleurs, avec tout ce positif autour de ce club, ça attire assurément les joueurs à y adhérer, donc ne soyons pas surpris qu’un deuxième centre de calibre débarque avec l’équipe lors de la période estivale.
Tout compte fait, cette signature de Jake Evans démontre que Hughes ne veut pas casser la chimie actuelle de son groupe, un message qu’il a pleinement saisi. En y réfléchissant bien, le grand nombre de choix détenus par Hughes et le CH ne modifiera pas significativement l’équation de laisser David Savard et/ou Christian Dvorak partir gratuitement.
