Jeremy Swayman figure toujours sur la liste des agents libres avec compensation et selon les dires de Cam Neely, la semaine dernière, ça accroche un brin au niveau des négociations. Selon ce qui circule, le cerbère numéro un des Oursons serait très gourmand… et souhaiterait décrocher le gros lot.
Selon le grenouillage actuel, en provenance de Rich Keefe, Swayman ne viserait rien de moins qu’un salaire équivalent à celui de Carey Price, qui demeure toujours en vigueur même s’il a accroché ses jambières. Swayman indiquait pourtant au préalable qu’il jouerait à un salaire moindre pour demeurer au sein d’une formation qui possède une culture puissante…
Disons que le jeune homme de 25 ans s’est fait ensorceler par son agent, Lewis Gross, qui est en train de négocier à la dure avec Don Sweeney. 10 millions par année, ça viendrait handicaper la structure salariale des Bruins de Boston, qui possèdent environ 8,6 millions de dollars sous le plafond.
Brad Marchand, qui joue avec un salaire moindre (6,125M$ annuellement) que sa valeur sur le marché, devra prolonger son accord à la suite du calendrier 2024-25, tout comme Trent Frederic, ce qui est non négligeable. Frederic pourrait augmenter un brin son salaire annuel, alors que Marchand, fidèle à ses habitudes, pourrait accepter un montant annuel similaire.
Oui, Swayman demeure un rouage d’une importance capitale pour les Bruins de Boston, lui qui a présenté d’excellentes statistiques depuis son entrée en scène dans le circuit Bettman en 2020-21. Cependant, il n’a jamais été d’office plus de 44 matchs, donc on ne connaît pas son étoffe s’il est appelé à sortir à 60 reprises pendant la campagne.
Soyez francs. Trouvez-vous que les demandes exigées par le clan Swayman sont un brin excessives?