Renaud Lavoie s’est présenté lors du tout premier épisode de l’émission Le Club du Matin, version estivale, animée par Anthony Marcotte. Lors de celle-ci, Renaud Lavoie s’est amené afin de livrer une tonne d’informations, ou ses sentiments, concernant l’action qui se déroulera dans les annales de la LNH après la finale de la Coupe Stanley.
Le journaliste de TVA Sports a entre autres spécifié de surveiller les Bruins de Boston dans le dossier de Leon Draisaitl, qui cherche à décrocher un pacte monstrueux d’environ 14 millions de dollars.
«Il y a des directeurs généraux qui ont commencé à faire leur liste d’épicerie, qui ont commencé à préparer ce qui va s’en venir lors des prochains jours. D’après moi, écoute, d’ici une semaine il y a des transactions qui seront annoncées. […] Je te parlais plutôt de Leon Draisalt, que tu ne veules ou que tu ne veules pas, est-ce que Leon Draisaitl sera échangé? Dans le sens que.. Si Draisaitl dit aux Oilers qu’il n’a pas l’intention de revenir, les Oilers n’ont pas le choix que de l’échanger immédiatement […]!»
Comme Renaud l’a précisé lors de son intervention, les Oilers d’Edmonton et les Panthers de la Floride ne peuvent pas bouger pendant qu’ils dansent pour l’obtention de monsieur Lord Stanley.
Cette situation amène donc les autres formations à attendre puisque le premier domino à tomber pourrait arborer le numéro 29 et se nommer Leon Draisaitl. Si son ambition demeure de quitter Edmonton, les Bruins seront à surveiller, eux qui souhaitent greffer un vrai pivot numéro un à leur organigramme.
Draisait, qui a une fois de plus fracassé la barre des 100 points (106 points, dont 41 buts, en 81 duels), empoche un salaire moyen de 8,5 millions de dollars jusqu’au 1er juillet 2025.
Par contre, si la direction des Oilers est consciente que l’Allemand souhaite quitter son nid, ou qu’ils n’auront pas les moyens de répondre à ses demandes salariales titanesques, elle n’a aucune autre option que celle de le bouger dès maintenant.
Les Oilers nous réservent-ils une surprise de cette envergure? Renaud croit que ce potentiel récit est loin d’être impensable. Comme dirait l’autre… à suivre!