Les Capitals de Washington se retrouvent au premier rang de l’Association de l’Est et au deuxième rang du circuit Bettman grâce à une fiche de 38-12-8, se positionnant ainsi de façon avantageuse avant l’entame des éliminatoires. Ce groupe est d’ailleurs tissé très serré et cette chimie est qualifiée de magique par l’organisation. Tout le monde possède le même objectif, soit de soulever une Coupe Stanley avec Alexandre Le Grand.
Sans omettre cette ambiance exaltante en raison de cette course effrénée impliquant Alex Ovechkin et Wayne Gretzky. Le record de buts de la LNH, détenu par La Merveille, sera assurément fracassé cette année par le numéro 8 des Caps. Le Tsar demeure humble et réservé à ce sujet, mais, dans sa tête, il accorde certes beaucoup d’importance à ce fait d’armes démesuré.
Cela dit, la chimie est à son sommet chez les Rouges et, en raison de cette facette, l’organisation pourrait hésiter à couronner une transaction lors de la date limite des transactions (7 mars). C’est du moins ce que croit l’informateur Elliotte Friedman à ce sujet, lui qui ne se retrouve pas dans le champ gauche. Voici d’ailleurs son discours au sujet de cette ambiance dans l’environnement des Caps:
«Les Capitals, c’est une chose, je me demande vraiment ce qu’ils vont faire à partir de maintenant. À une semaine et demie de la date limite, ils ont une sorte de chimie magique cette année, et chaque mouvement qu’ils ont fait pendant l’intersaison a été un coup de circuit dans la hauteur des gradins. Chychrun, Roy, Logan Thompson, Dubois ont même fonctionné pour eux là où ils n’ont pas fonctionné ailleurs. Jusqu’à quel point voulez-vous jouer avec ça?»
Si Chris Patrick, directeur général des Capitals, conclut un accord, il est fort probable qu’il recrute un joueur pour le troisième trio, comme Jake Evans, par exemple. Un spécialiste tel que lui pourrait assurément s’insérer au sein de ce groupe, même si Lars Eller campe un rôle sur le bottom-6.
