Pierre-Luc Dubois est désormais un membre des Capitals de Washington, lui qui a été obtenu en retour des services de Darcy Kuemper. Depuis qu’il est un #AllCaps, on peut humer un soulagement et une fierté lorsqu’il dialogue avec les médias. Le Québécois est convaincu que l’air de Washington sera plus pur pour lui, ce qui lui permettra de renouer avec ses repères.
D’ailleurs, Alex Ovechkin a fait parvenir un émoji de «pouce» à Brian MacLellan lorsque celui-ci a mis le grappin sur PLD. Le potentiel du pivot de 26 ans ne s’est certes pas évaporé à la suite d’une seule mauvaise saison. Les Kings de Los Angeles n’étaient tout simplement pas un «fit» pour Pierre-Luc Dubois, alors qu’ils comptaient déjà sur Anze Kopitar et Phillip Danault sur la ligne centrale.
En plus de ça, on ne doit pas omettre que Dubois pourra compter sur un allié de taille chez les Caps puisque l’entraîneur-chef Spencer Carbery travaillera main dans la main avec son nouveau soldat.
«J’aime les défis, et c’est mon travail lorsque nous acquérons des joueurs qui ont été très productifs, qui ont un potentiel énorme et qui ont déjà montré ce potentiel, c’est du coaching. C’est ce que j’aime faire. J’espère qu’il viendra ici et que l’environnement, l’équipe, le personnel d’encadrement lui permettront d’être très, très productif et d’atteindre le potentiel que tout le monde a vu en lui!», a indiqué Carbery lors d’un entretien avec Sammi Silber
Un point capital pour Carbery sera de ne pas se concentrer sur l’année ardue qu’a connue Dubois en Californie. La priorité du Dubois sera de passer à autre chose et de penser à la présence suivante, sans réfléchir. Il doit vivre le moment présent à chaque moment où il foulera la surface glacée. Pour le ramener et le maintenir dans cet été d’esprit, Carbery sera là pour l’épauler chaque jour.
«Nous allons travailler avec lui tous les jours pour essayer de tirer le meilleur de lui!» – Carbery
Soulignons que Dubois ne jouera pas un rôle de soutien avec les Caps parce que ceux-ci désirent lui octroyer le poste de centre numéro un, rien de moins. Il possède l’étoffe et les aptitudes pour camper ce rôle crucial au sein d’une unité comme les Capitals de Washington.